Il fut le grand drere de CAMARA Aboubacar - Charles - militaire de la promotion 1990 et décédé en mars 2004.
Que son âme repose en paix : AMEN
Docteur Alseny CAMARA Chef de cabinet du ministère de l'alphabétisation et de la promotion des langues nationales en image.
De la part de JACK WOUMPACK
Tout passe, tout casse, tout lasse, tout s'efface...
Ma chère belle-sœur, Marie Louise Haba Bignamou, nous a quittée trop tôt.
Je passe encore des moments difficiles, car le dimanche dernier j'ai perdu une de mes meilleures amies. Marie est décédée dimanche de Pentecôte après une grave maladie de cancer.
Elle était une femme formidable, belle, généreuse, pleine de vie, dynamique et je n'arrive pas à m'imaginer que je ne la reverrai plus. En novembre 2008 nous avions passé de bons moments ensemble à Fria, Conakry et Coyah lors de mon mariage en Guinée.
Le jour de mariage avec Jacques (Jack Woumpack, le meilleur rappeur guinéen) nous avons rit et dansé ensemble, nous avons partagé tous les sécrets de femmes, elle était pour moi comme une sœur, une confidante et même plus, un lien fort entre moi et ma famille africaine, un pillier important que je viens de perdre.
Marie laisse 3 enfants mineurs et de centaines de personnes qui l'aimaient. J'espère qu'avec le temps l'angoisse passerai mais jamais je n'oublirai .
Bien que les fleurs se fanent, meurent et disparaissent, leurs précieux parfums demeurent toujours. Tout comme ces fleurs éclatantes, Marie Loiuse , ceux que nous aimons ne meurent jamais; ils demeurent avec nous à jamais, empreints dans nos souvenirs précieux.
La distance (Allemagne-Guinée) rend ma présence actuellement impossible, cependant, j'espère que ces pensées sincères de sympathie et de compréhension pourront vous être d'un certain réconfort.
J’adresse tous ces mots à mon cher mari Jacques, mes beaux-frères vivant à Fria, Coyah, Berlin et Conakry : Louis, Gabriel, Pierre et Mathieu Bignamou, à mon beau-père Alexis Bignamou, à mes chères belles-sœurs Anita, Sally et Céline et à leurs familles, aux deux filles de Marie et à son fils, le petit Dodo, à toute la famille, cousins et cousines et à tous les amis et connaissances de Marie Louise.
Il faut aimer la vie et en apprécier chaque moment car un jour la mort nous ravit aussi et nous emmène vers d'autres horizons. Marie Louise qui est partie trop tôt avait vécu auprès de nous une foule de moments doux.
Espérant que le temps atténuera notre douleur et que les beaux moments, à jamais gravés dans notre cœur, seront pour nous tous réconfortants.
Liebe Marie-Louise:
Wenn Liebe eine Leiter wäre und Erinnerungen die Stufen,
würde ich hinaufsteigen, um Dich zu uns zurück zu holen.
Ich werde Dich nie vergessen, Du fehlst mir zu sehr.
Danke für die kurze Zeit, die wir miteinander verbracht haben.
Anna Bignamou
Trier (Deutschland), den 25. Mai 2010, Trèves (Allemagne) le 25 mai 2010.
Malgré son absence à Fria pour raison de santé, Monsieur DIALLO Syli Maire de la commune urbaine reste, depuis son lit de malade en France, attacher à la vie de sa cité et au quotidien de sa population qu’il n’a jamais quitter en période de crise. L'ambition de l'homme pour sa population et sa ville reste le fil conducteur de sa détermination à lutter contre l'injustice et le conformisme. Pour inviter justement ces collaborateurs de mettre l’intérêt de la ville et des populations au dessus de toute ambition de corruption ; une seule arme pour lui : le courage historique et la vérité.
A cet effet, n'est-ce pas le premier Maire de la ville de Fria, la première autorité qui a osé porter à la connaissance de sa population le montant de la redevance que verse l'usine de Fria à la ville sur Guinnenews-un site international- suite aux interrogations soulevées sur la gestion de cette redevance par Monsieur CAMARA Aboubacar – charles – administrateur de somborynews. Un courage qui lui a attiré aujourd’hui toutes les hostilités du monde de la part des ses détracteurs et ceux qui ont toujours milité pour la souffrance des Friakas au profit de leurs intérêts individualistes et égoïstes. Ces sans foi ni loi ont intérêt à se ressaisir et, au lieu de s'acharner davantage contre la personne du Maire, doivent plutôt prie avec tous les somborykas de toute sensibilité confondue pour que ce grand homme puisse par la grâce de Dieu retrouver sa santé et sa forme habituelle de combattant pour la vérité et le rayonnement de tout sombory qui lui souhaite prompt rétablissement et qu'il a toujours porté à coeur.
relatif au carnage du lundi 28Septembre 2009 ! Les mots nous manquent pour décrire cette scène d'horreur que les Guinéens et Guinéennes ont vécus en ce jour du lundi 28 Septembre. Nous sommes aujourd'hui conscients que comme ses prédécesseurs le CNDD ne fera pas notre affaire en Guinée.
Et, loin de là si l'on n'y prend pas garde la Guinée risque de tendre vers une guerre. C'est pourquoi, il est temps que tous les Guinéens s'unissent pour enfin barrer la route au CNDD car, cette organisation militaro-affairiste que nous avions connu sous l'ère Conté entourée de quelques civils sont aujourd'hui prêts à mettre la Guinée à feu et à sang rien que pour se perdurer aux pouvoirs. C'est pourquoi, nous demandons à toutes les parties prenantes, à la communauté internationales, aux forces vives de mettre la pression enfin que nous Guinéens(nes) puissions respirer. Et, nous allons finir ces paragraphes sans demander à ce que soit mis sur place un comité d'enquête internationale afin que soit traduit devant la justice les forfaiteurs de cet acte de barbarie. Vive la Guinée
Durant notre séjour en Guinée du 6 août au 27 août, nous avons pu observer et nous renseigner sur les différentes méthodes de construction de la région de Guinée Maritime.
I) Les constructions urbaines
Pendant nos excursions dans les villes telles que la capital Conakry et Fria, nous avons observé que la majorité des constructions étaient en briques creuses revêtues d’enduits en ciment. Les toitures sont le plus souvent en tôle ondulée éléctrozinguée ou en tôle pré-laquée. Le soleil et la pluie ont pour la plupart du temps décoloré le revêtement qui prend un aspect mat.
Dans les quartiers populaires, d’un point de vue urbanistique il n’existe pas de trottoirs, et rarement de systèmes d’évacuation des eaux sauf dans les quelques quartiers privilégiés de la capitale. Dans les quartiers pauvres la plupart des constructions sont issues de matériaux récupérés notamment les tôles et structures en bois.
II) Les constructions rurales
A) Les bâtiments administratifs
Quant à notre séjour dans le village de Sombory, la plupart des bâtiments administratifs issus de l’époque coloniale sont construits en béton armé, sur une dalle de béton. Comme l’exemple de notre projet de rénovation, qui incorpore dans toute la surface de la construction, y compris la terrasse, une seule dalle de béton sur laquelle les poteaux en bétons prolongent la toiture qui couvre la terrasse. La charpente est constituée de bois tropicaux naturels que l’on traite afin de limiter les dégâts dus à l’humidité.
L’école du village, qui date de l’époque de la colonisation, est une construction adaptée pour que les cours puissent être possibles durant des périodes de grande température. Notamment un sur-élévement du toit laisse un espace de près de 20 cm entre les murs et le toit pour permettre le renouvellement de l’air. De plus il n’y a pas de fenêtres mais des grilles qui participent également à la meilleure circulation de l’air.
C) L’habitat rural
Quant aux habitations, il en existe plusieurs types au sein du village, en fonction de la richesse des propriétaires nettement distinguables par les matériaux utilisés. En revanche, elles conservent une particularité commune : la cuisine externe à la maison sous forme d’une hutte. Premièrement, les maisons du type « bourgeoise » du village sont en général construites sur une dalle de béton et avec de matériaux de construction solides. Comme nous le montre la maison du tailleur du village qui semble posée sur une dalle de béton d’où émergent les soubassements (40 cm). Le reste du mur extérieur est constitué de briques cuites faites au village. La toiture est formée de tôles plus ou moins anciennes et abîmées.
La particularité commune est donc la cuisine se trouvant à l’extérieur de la bâtisse d’habitation notamment sous forme de huttes.
Les matériaux utilisés sont d’une part un toit végétal appelé communément en « paille » qui doit être renouvelé tous les 1 à 2 ans selon les dégâts plus ou moins importants de la saison des pluies, d’un petit muret circulaire en terre cuite qui permet de se protéger du vent, et de poteaux en bois qui permettent de soutenir le toit. La structure du toit est formée d’un ensemble de troncs d’arbustes en forme de cône, liés entre eux par des lianes fixé en brêlages qui assure la rigidité de l’ensemble.
D’autre part, les maisons populaires sont construites avec les matériaux de proximité les plus rudimentaires. Elles se composent d’une structure poteaux en bois lié entres-eux par des lianes, supportant la charpente et la toiture, plantée à même le sol. Leurs empreintes au sol forment un rectangle ou un hexagone. L’ajournant de l’assemblage est comblé de pierres, elles-mêmes colmatées par de la glaise. On y pénètre en général par une unique porte ouvrant sur une grande pièce unique, une ou deux fenêtres fermant uniquement par des volets. Les sanitaires sont situés à l’extérieur comme les cuisines.
De nouveau la toiture est fabriquée suivant les mêmes techniques que celles des cuisines extérieures, mais avec des troncs de section supérieure. L’assemblage avec la charpente semble plus sophistiqué. Ci-dessous une maison de type populaire.
En conclusion, nous avons été frappés par l’écart entre les constructions individuelles issues des techniques traditionnelles et les bâtiments contemporains datant de la période coloniale qui sont particulièrement dégradés faute de moyens pour les entretenir. Les constructions n’ont connu aucune évolution depuis cette époque. Nous n’avons pas vu de bâtiments modernes qui prendraient en compte les préoccupations des pays développés en matière d’habitat : adaptation à l’environnement dans une dynamique de développement durable par exemple. Il reste encore un long chemin à parcourir pour que ces pays puissent développer une architecture moderne adaptée. Éventuellement inspirée des modes de construction traditionnels.
Dossier réalisé par Nathan Maugey suite au voyage de solidarité internationale en Guinée par la BAU des scouts unionistes de Boulogne-Billancourt
Pour mieux savoir les conditions de ce projet qui permettra de voir enfin une Maison des Jeunes digne de nom dans la CRD de Tormelin, nous avons rencontré dans l’ordre Sény SOUMAH le Président de la CRD, Charles CAMARA initiateur du projet, Martin NICE l’éclaireur des scouts français, Yariatou Oumar TOURE Commissaire Nationale de la branche verte et Aboubacar Amadou CAMARA journaliste chargé de la couverture médiatique du projet. Ils nous éclairent sur ce que nous avons voulu savoir à la fois sur le scoutisme, leur projet et aussi la CRD hôte. Un petit détail : l’entretien a été par Mr Augustin Raymond GNIMASSOU Professeur à l’Institut Supérieur de Communication et de Gestion à KOUNTIA et frère de . . .
MARTIN NICE ECLAIREUR DES SCOUTS FRANCAIS
Augustin pour Friainfo : Vous êtes. . ?
Martin NICE : Je m’appelle Martin NICE, j’ai 24 ans. J’ai un nom scout français qui est écureuil mais ici les gens m’appellent Ibrahima. Je n’ai pas participé à la préparation du projet. Je ne suis arrivé qu’à la fin choisi par le responsable légal pour veiller au bon déroulement des choses.
Augustin pour Friainfo : Pourquoi y avez-vous adhéré sur le tard ? Cela semblait-il intéressant pour vous ?
Martin NICE : Les scouts avaient des projets mais ils ne savaient pas trop où les réaliser. Ils parlaient d’Inde et les contacts étaient un chancelants. Ils n’ont pas bien répondu. Charles est arrivé à ce moment et a lui-même pris contact avec eux. Très dynamique, il n’a pas tardé de les convaincre.
Augustin pour Friainfo : Combien de temps ont duré les préparatifs et comment tout s’est passé?
Martin NICE : En gros, ça fait deux ans qu’ils se préparent car il fallait réunir de grosses sommes d’argent pour les billets d’avions et les travaux. Ils ont tenu de nombreuses réunions avec Charles pour mieux monter le projet. Ils sont allés dans leurs écoles chercher des livres pour fournir la bibliothèque.
Augustin pour Friainfo : Comment s’est faite la rencontre avec la Guinée pour vous qui ne connaissiez pas tous l’Afrique?
Martin NICE : Il y a juste ma nièce et moi qui sommes allés une fois au Cameroun pour un projet similaire. La rencontre est très surprenante car on ne s’attendait pas à un tel accueil de la part des gens. On pensait de façon discrète mais les gens se sont réunis en grand nombre autour de nous et ça nous a fait vraiment plaisir.
Mais après tout, il y a l’acclimatation qui est un peu difficile. Nous avons quatre cas de maladie.
Augustin pour Friainfo : Un peu le retour de manivelle quoi ?
Martin NICE : Exactement, mais tout n’est que passager et ils se remettront un peu vite.
Augustin pour Friainfo : Pensez-vous pouvoir inviter un jour des scouts de guinée pour d’autres projets mais dans le sens inverse. C’est à dire vers la France ?
Martin NICE : A mon retour du Cameroun, j’ai voulu faire la même chose. Notamment pour qu’au moins un des chefs puisse venir en France passer son BAFA. Ca n’a pu se réaliser pour des questions de financement et de visa. Je ne désespère pas de pouvoir en accueillir un jour. Baden POWELL disait : « Un scout est l’ami de tous et le frère de tout autre scout ».
Augustin pour Friainfo : Le chantier avance et sera sûrement une réussite. A quand d’autres projets ici ?
Martin NICE : Il y en a déjà eu quatre en Afrique : deux au Mali, un au Cameroun et celui d’ici. Peut-être que nous reviendrons pour d’autres projets. En tout cas, nous le souhaitons vivement.
A tous les membres de l'AJDST;
Permettez moi de vous remercier du beau voyage que nos scouts ont fait grâce à vous.
A mon tour, je vous remercie beaucoup de tout le travail de logistique que vous avez fait sur place pour leur accueil, leur confort et leurs activités. Quelques photos me montrent l'investissement de tout le village pour eux, quelle chaleur humaine!
Ce voyage restera pour eux une belle expérience de solidarité internationale et d'échanges culturels. Merci aussi d'avoir organisé ce camp scout au village, c'était pour eux de très bons moments.
Merci également pour les petits cadeaux personnels que vous m'avez fait passer, c'est une très gentille attention.
ABOUBACAR à bientôt à Boulogne (nous serons au forum des associations à la mairie les 13 et 14 septembre)
Cordialement
Je voudrais vous faire comprendre tous que votre site m'a emerveillé à plus d'un titre dans la mesure qu'il renferme le nom de mon cher village natal.
Je suis de Tormèlin Tanènè,fils de feu Amara Bangoura,ancien Trésorier du comité JRDA,pétit-fils de MANGA LORY et Kanké Souaré,originaire de Bakhonyi,district de Mambory Forèya.
Je suis Ingénieur Electro-énergeticien en sevice au Département 56 Centrale Electrique de la Compagnie des Bauxites de Guinée (C.B.G),Sécretaire à l'information du Bureau Exécutif de l'Association des réssortissants pour le Développement de Fria à Kamsar(A.R.D.F).
Pour tous les ressortissatnts et les sympathisants de Sombory Tormèlin,un seul slogan "TOUS POUR LE DEVELOPPEMENT SOCIO-ECONOMIQUE DE SOMBORY"
Comité Mosellan de Sauvegarde de l'Enfance,
de l'Adolescence et des Adultes
eps.cmsea.woippy@wanadoo.fr
Metz / France